vendredi 17 octobre EUROMEDITERRANEE : 30 ans, 30 lieux, avant / après... jeudi 16 octobre Mucem : Focus exposition " Populaire " , section " Peuples en mouvements " mardi 25 novembre Conférence UTL : « Clément Cogitore Ferdinandea, l île éphémère » vendredi 10 octobre Conférence UTL : « Don Quichotte ; histoire d’un fou, histoire d’en rire » mercredi 8 octobre Exposition Mucem " Lire le ciel. Sous les étoiles en Méditerranée" mercredi 15 octobre Une journée en Avignon : de Villeneuve-lès-Avignon au Palais des Papes
jeudi 16 janvier : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Commentée par Vincent Giovannoni
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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière !
Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvredes œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.
vendredi 24 janvier : Visite Mucem : Méditerranées
lundi 27 janvier : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Commentée par Vincent Giovannoni
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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière !
Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvredes œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.
mardi 4 mars : L'OPERA DE MARSEILLE : Une première de 1924 à 2024
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L'OPERA DE MARSEILLE : Une première de 1924 à 2024
1924 - 2024 : cent ans de passion
Temple de l’art lyrique et bijou, unique en son genre, de l’architecture Art déco, l’Opéra de Marseille fête le centenaire de sa reconstruction, après le dramatique incendie du 13 novembre 1919 qui détruisit presque entièrement le Grand Théâtre. En 1987, une première exposition aux Archives municipales,Divines divas, était plus portée sur l’art lyrique.
Le parti pris de la présente exposition est de proposer une sélection de documents entrés et traités ces quarante dernières années, dans une perspective moins axée sur l’art lyrique, pour tenter de retracer à la fois la complexité de la reconstruction de l’Opéra dans les années 1920, mais aussi le travail en coulisse et au quotidien de montage de spectacles depuis un siècle.
mercredi 26 mars : Jardins des migrations
Visite commentée par Catherine Millet et Paule Acquaviva, amies du MUCEM
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Jardins des migrations
Le jardin des migrations est un ensemble de 15 tableaux réalisé en 2013 par la société paysagiste APS. Il propose de retrouver la diversité botanique méditerranéenne face au large ou à la ville de Marseille.
C'est le premier jardin méditerranéen de Marseille, il est le témoin des évolutions climatiques et nous invite à réfléchir sur les apports et les enjeux d'espèces nouvelles.
jeudi 10 avril : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
Commentée par Mireille Jacotin Co commissaire de l'exposition
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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.
jeudi 24 avril : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Commentée par Vincent Giovannoni
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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière !
Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvredes œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.
jeudi 15 mai : Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille
Commentée par Vincent Giovannoni, commissaire de l'exposition
Robert Badinter au micro de Nicolas Demorand, 2010 - Le Mucem présente la guillotine conservée grâce à Robert Badinter en 1982
Hommage à Robert Badinter par le Mucem à l’occasion de sa panthéonisation le 9 octobre
Dans l’exposition « Populaire ? – Les trésors des collections du Mucem » Avec ce nouvel accrochage dans l’exposition permanente « Populaire ? », le Mucem affirme son rôle de musée de société qui documente et met en lumière les mobilisations sociales face aux grandes transformations du monde. La section « Peuples en mouvements » s’articule autour de dates clefs qui incarnent des luttes, des ruptures et des progrès ayant façonné la société française contemporaine. À travers une sélection d’objets et de documents, le visiteur découvre comment le musée a conservé la mémoire des grandes grèves ouvrières de 1936, des révoltes étudiantes et sociales de 1968, des conquêtes féministes avec la création du Secrétariat d’État à la condition féminine en 1974, de l’abolition de la peine de mort en 1981, du vote de la loi sur le mariage pour tous en 2013, ou encore de la mobilisation mondiale pour la liberté d’expression après les attentats de janvier 2015. C’est dans ce cadre que la guillotine, symbole de la fin de la peine capitale, est présentée comme un objet de mémoire et de réflexion. Elle rappelle combien l’abolition de 1981 fut un basculement historique, incarné par Robert Badinter. En exposant aujourd’hui la guillotine, alors qu’il entre au Panthéon, le Mucem souligne sa mission : être à la fois un lieu de mémoire des luttes sociales et politiques, et un espace de résonance avec l’actualité nationale. L’exposition « Populaire ? » s’attache enfin à dialoguer avec notre présent. Ainsi, l’« Affiche rouge » a également rejoint récemment le parcours, en écho à l’hommage rendu à Missak et Mélinée Manouchian et à leur entrée au Panthéon.À l’occasion de l’entrée de Robert Badinter au Panthéon le 9 octobre 2025, le Mucem met en lumière un objet hautement symbolique de l’histoire judiciaire, politique et sociale française : la guillotine. Celle-ci fut intégrée en 1982 aux collections nationales sur proposition du garde des Sceaux Robert Badinter, un an après l’abolition de la peine de mort en France